quel avenir pour l'accord d'alger?

Source: Wikipédia

Étant un accord  imposé aux partie qui l’ont signé, on a commencé à s’interroger sur sa viabilité et son applicabilité dès sa signature entre les groupes du nord et le gouvernement malien toutes ces parties ont des difficultés à appliquer cet accord, et  de l’expliquer à leurs bases de ce fait on peut dire avec une  grande certitude que  l’accord d’Alger n’est que de l’ancre sur papier.  Et la communauté internationale aussi  semble incapable de l’imposer. On peut dire tout simplement que cet accord n’est pas viable car s’il est signé pour être appliqué, mais quels sont les obstacles qui font de cet accord un system d’équations sans solution ?
En fait comme vous l’avez appris en Analyse pour qu’un system d’équations (premier degrés a deux inconnus) possède une solution il faut que leurs deux droites représentatives soient concurrentes, c'est-à-dire il faut qu’ils aient un point en commun.  Cela va de même  dans la vie politique et sociale aussi, pour que  deux entité politique ou sociale travaillent ensemble il faut qu’ils aient quelques choses en commun, or ce n’est pas le cas entre le gouvernement malien et les groupes du nord, même ceux qui sont qualifiés des groupes pros-gouvernement ne le sont pas en réalité, et ces groupes sont détestés par le gouvernement plus que les autres.  Et  même  si  certains pensent que le terrain est un point commun entre les nordistes et les sudistes, en réalité les ne sont présent sur le terrain que grâce à la France qui les a amené durant la période coloniale, et qui continue de le protégé aujourd’hui aussi grâce à l’opération  Barkhan . Et vous avez bien raison de vous interroger en posant la question : « que sera le Mali sans la France ? Et qu’aurait-il devenu sans la France ?»

Mais qui  tient des obstacles à l’application de cet accord?
Pour répondre à cette question il faut d’abord situer les principaux objectifs de cet accord  et ces objectifs ont peut le situé en quelques lignes pour n’est pas compliqué la lecture aux gens qui ne connaissent le problème du nord autrement dit l’Azawad :
1-Le développement du nord à travers des projets financés pour la plus part par l’union européenne et les nation-unis.
2-Le retour des tous réfugiés qui ont fuit cette région délaissé par l’état malien depuis son indépendance jusqu'à la fuite de son armée et de ses représentants en 2012.
3-L’stabilisation du nord à   travers la constitution d’une  armée constitué essentiellement des groupes du nord qui connaissent la région  car l’armée malienne ne connaissent pas le terrain pour lutter contre l’insécurité qui règne dans cette région.
Alors on le voit bien les objectifs de cet accord sont les mêmes revendications avancé par les groupes armés du nord même ça n’inclus pas l’indépendance de cette région, du coup il est difficile voire incompréhensible de  dire que ce sont ces groupes qui empêche son application car ces groupes en profitent bel et bien. Quant au gouvernement malien, cet  accord ne correspond à aucun de ces objectifs, et est même contre sa politique générale  comme n’a jamais cessé de le dire. Oui il est contre ces principaux objectifs parce que le développement du nord n’a été dans sa politique, et l’insécurité il en est responsable  lui qui a invité les groupes terroristes à s’installer dans cette région à l’époque du président ATT, en  complicité avec le voisin du nord qui est l’Algérie, et ces groupes terroristes importés ont joué un rôle primordiale dans la lutte contre les  groupes touaregs qui militent contre le gouvernement malien. Il faut souligner le vair menace pour le gouvernement de la sous-région ne sont pas les groupes terroristes mais plutôt les mouvements indépendantistes. Même si je ne suis pas qu’il  y a aujourd’hui des mouvements indépendantistes dans la sous-région à par le Polisario qui bien toléré par tous le bien africain car il n’est pas un mouvement touareg ou berbère.  Le MNLA qui se dit indépendantiste a été pris très tôt en otage par  d'autre mouvements n'ont pas le même objectif, et qui sont soutenu par l'Algérie, ce qui peut rassurer le gouvernement malien car l’Algérie est hostile à l’existence d’un état touareg plus que le Mali et le Niger.

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